L’annonce de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation, Andrée Laforest, soit l’offre de soutien psychologique aux élu(e)s municipaux et d’une formation en début de mandat, a suscité une réaction mitigée d’une coalition d’élu(e)s municipaux de partout au Québec qui s’est récemment formée afin de réclamer des actions concrètes pour améliorer le climat et la gouvernance en politique municipale.
Après l’onde de choc créée par la démission de la mairesse de Gatineau la semaine dernière et l’annonce de ce matin qui coïncide avec la Journée nationale contre l’intimidation, les membres du groupe sont laissés sur leur faim, car l’accumulation d’événements au cours des derniers mois démontre que la démocratie municipale est fragilisée.
Quand l’empathie fait obstacle aux ambitionsLe commentaire de Fred Bérard