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Santé

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Alexandre Dubé

septembre 29, 2021

Des membres du Syndicat des professionnelles en soins des Laurentides affiliés à la FIQ (FIQ-SPSL) étaient réunies dans un hôtel de Saint-Jérôme, ce matin, pour témoigner de la violence organisationnelle qu’elles vivent au quotidien.  

On dit que la confiance des professionnelles en soins envers leurs employeurs est rompue, qu’elles se sentent trahies et impuissantes devant leur incapacité de prodiguer des soins dignes et sécuritaires.   

« Comment l’employeur peut-il encore prétendre que la santé et la sécurité de nos membres, ainsi que de la population, ne sont pas compromises? Nos demandes sont simples et réalistes : un horaire complet déterminé à l’avance, une directive claire du ministre Christian Dubé afin que cesse le recours au temps supplémentaire obligatoire – échéancier à l’appui – ainsi que l’arrêt de la mobilité et le déplacement abusif des professionnelles en soins. »
     – Julie Daignault, présidente de la FIQ-SPSL

Extrait : Julie Daignault nous donne quelques exemples de témoignages 

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